Portrait d’Agadir : Fatimazohra El Ouahidi, l’icône médiatique
- Saoudi El Amalki//
En ce moment coïncidant avec la célébration de la journée mondiale de la femme, il est bien juste de porter le choix sur une icône frappante de la cité. On ne s’est pas beaucoup donné de la peine pour en chercher puisqu’on en a trouvé pas plus loin que son nez, plus précisément dans l’univers de la presse et de l’information.
La trouvaille du présent portrait ne peut s’agir que de la gracieuse Fatimazohra El Ouahidi. Une jeune fille pétillante de passion et d’attachement à son métier, depuis déjà ses premiers balbutiements de l’existence.
A peine eut-elle décroché sa licence et son diplôme de la presse dans sa ville natale, qu’elle s’empressa de continuer les études supérieures de sa vocation qui la hantait au fond de ses entrailles. Toutefois, sa petite famille avait trop peur pour elle qu’elle ne l’encourageait guère à faire ce voyage loin de chez elle, pour ce faire.
Elle se rendait à l’évidence, mais cet ardent amour pour la presse ne faisait que s’accroître dans son petit cœur enflammé. Elle se contentait de se frayer son chemin de journaliste dans les dédales des stations radio privées à Agadir où elle s’est progressivement, acquise une certaine expertise.
Faisant preuve de sérieux et de disponibilité exemplaires, elle se fait remarquer par ses compétences, ses qualités et surtout par son sens de responsabilité et de tact de cordialité envers ses consœurs, ses confrères, mais également à l’égard de tout son entourage, au tel point qu’elle devient en si peut de temps, l’idole de la presse régionale.
Depuis quasiment un an, elle intégrait le monde du football, à travers la tâche de coordinatrice de la communication du club fanion de la région qu’est le Hassania d’Agadir.
Là aussi, elle gagnait les cœurs de l’environnement du sport, pourtant bourré de rancune et de rancœur, par le biais de sa résilience et de son amabilité dont elle connaît les secrets à merveille. Fatimazohra s’est érigée en première femme, vaquant à cette mission combien complexe et laborieuse.
Tout au long de cette profession qui lui tient tant à cœur, elle se montre constamment en phase de ce que l’on attend d’elle, avec doigté et minutie. Malgré la lourdeur et l’enchevêtrement de sa nouvelle besogne qu’elle assure avec amour et vitalité, elle s’efforce de s’en acquitter d’un e brillance et d’un professionnalisme avéré, sans jamais s’en plaindre ni s’en dérober.
A l’occasion donc de ce 8 mars, journée dédiée à la femme de la planète, tous les sentiments et fierté et d’estime vont à cette valeureuse messagère du noble métier de journaliste, qu’est Fatimazohra à laquelle une fête d’hommage pour son immense talent fut consacrée récemment par la société civile de la région.
On lui offrira de notre part, un bouquet d’orchidées et d’hortensias, tout en lui souhaitant toujours plein succès dans le métier de la galère !
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