Portrait d’Agadir: Abdallah Kenfaoui, la classe dans ses éclats!
Saoudi El Amalki//
Il y a de ces cadres qui forcent l’admiration à souhait, partout où ils évoluent aussi bien en vie active qu’en privé.
Ils ont tendance à se montrer agréables durant des circonstances mouvementées comme en états paisibles, mais ils sont éternellement attentionnés.
Sans doute citera-t-on, sans la moindre hésitation, l’exemple de ces compétences qui ne cessent de crever l’écran, de par sa bonhomie et de sa classe.
En gentleman qu’il est, Abdallah Kenfaoui, puisque c’est de lui qu’il s’agit, c’en est forcément un et ne serait pas du tout prédisposé à faillir à ce tempérament d’homme du monde dont il fait montre aussi longtemps que faire se peut.
Tout au long de son passage à la première station balnéaire du royaume, en tant que chef d’agence de la Royal Air Maroc à Agadir, il s’est distingué par cet aspect relationnel avec son entourage pluriel, par le biais duquel il a toujours su tendre des passerelles de concorde, au service de la ville, en rapport permanent avec les exigences de la profession et les besoins ressentis.
Toutes ces vertus lui ont a coup sur, servi à se faire valoir aux yeux de ses interlocuteurs et à se rendre utile, à commencer par le secteur du tourisme, pour l’envolée duquel il s’est investi pleinement, en compagnie des opérateurs et professionnels, du temps de l’ère d’or du domaine.
Par la suite, il avait répondu à l’appel du promoteur national de l’air qui le voyait encore plus expédient sous d’autres firmaments, notamment au pays des pharaons, au sein duquel il avait accompli un ouvrage des plus judicieux, en matière de la gestion efficiente.
Aujourd’hui, il réintègre la cité métropolitaine pour participer à lui insuffler la bribe d’expertises dont elle a assurément besoin, en ces moments de refonte urbaine où les chantiers pullulent, un peu partout en ville, dont celui du fameux Royal Atlas.
Empreint de continence et de sagacité, Kenfaoui ne semble jamais se déshydrater de la sève qu’il s’était constamment abreuvée à satiété, en prêtant main forte à cette dynamique que se fait sienne la communauté locale, dans la foulée du Programme de Développement Urbain (PDU).
Du haut de ces décennies de savoir-faire, acquises dans la dextérité avérée, il s’y met avec la même pugnacité et le même discernement, en vue de contribuer à faire redorer le blason du secteur, en réelle déconfiture, en termes de gouvernance.
En fait, des calibres de sa trempe se raréfient au cœur d’une marée de « bras cassés » qui a l’habitude de tirer le tourisme vers le bas, en ces périodes de vaches maigres.
Kenfaoui ne se contente jamais de déplorer l’état fébrile du secteur, mais de mettre la main à la pâte pour son éclosion, sur la base des valeurs de sérieux, de labeur et d’ingéniosité.
Ce dont il continue à rêver, à travers le sens de civisme et de patriotisme qu’il s’imprègne à jamais.
La vitalité du travail est pour lui, un dogme sacré, au point de le chérir et le vénérer.
A ce propos, Jules Verne, le célèbre écrivain de l’Hexagone disait un jour : «Ce ne sont pas de nouveaux continents qu’il faut à la terre, mais de nouveaux Hommes!».
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