
A vrai dire: L’Algérie au pied du mur
- Saoudi El Amalki//
La junte algérienne ne cesse de faire des siennes à travers des actes aussi obscènes que cyniques. Elle s’en est prise à son voisin frontalier depuis à peu près un demi-siècle pour lui « rafler » son Sahara alors que quasiment toute la communauté universelle reconnaît ce droit séculaire incontestable sur ses terres récupérées.
Cette attitude d’hostilité chronique qui ne dit pas son nom, s’est attisée à brides abattues, par le truchement d’une flopée de mercenaires qu’elle armait, finançait, choyait à plein régime…
Pour parvenir à ses fins expansionnistes, elle se mettait à dresser des pays africains en difficulté par le biais des manœuvres soudoyantes, faisant usage des duperies mensongères.
Mais, au fil du temps, nombre de nations du continent se sont rendues compte de ces basses tromperies et ont rectifié le tir envers un vieil allié durant l’époque coloniale qu’est le Maroc de feu Mohammed V.
A mesure que les décennies passent, les liens de coopération win win se sont alors tissés avec les nouvelles générations de ces États surtout après les retrouvailles de l’Unité Africaine du 30 janvier 2017…
En dépit de ces prises de conscience affichées à grandes enjambées, par la quasi-totalité de ces contrée, le régime algérien n’arrête pas de mener sa politique belliqueuse, non seulement contre le Maroc, mais également à l’égard des pays du Sahel, notamment le Niger, le Mali le Burkina Fassi.
Ces nations et bien d’autres sont actuellement en conflit frontal avec le Pouvoir d’Alger pour avoir pris connaissance de leur potentiel naturel dont elles regorgent et avoir le courage d’arborer haut et fort « Basta ! », à l’extradition des ressources minières au profit de l’Algérie qui a longtemps subtilisé ce butin à ces « pauvres et poltrons » pays africain, face à cet ogre algérien…
Aujourd’hui, « les épaules sont égales » comme disait l’adage populaire de chez nous, ou encore « la corde de la menterie est courte », l’Algérie se retrouve à présent au pied du mur, acculée dans ses utopies illusoires et atteinte de myopie face aux réalités africaines saillantes dont le Maroc est désormais un leader incontournable, axées sur la mutualité et la concorde.
En somme, le glas sonne pour un régime militariste fondé sur le terrorisme, le séparatisme et le mercenariat. Des régimes de cette espèce finissent toujours par s’estomper, d’autant plus que leur front interne est fragilisé par le dénuement, la privation et la terreur.
Et ce n’est pas les cas de l’histoire de l’humanité qui manquent à ce propos puisque l’ère dictatoriale et fasciste ne peuvent indéfiniment perdurer !

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