A vrai dire: La gifle onusienne
- Saoudi El Amalki
Le Secrétaire Général de l’ONU, Antonio Guterres, vient de passer un savon aux ennemis du dossier du Sahara Marocain, au cours de son intervention au sommet pour un nouveau pacte financier mondial, tenu récemment à Paris.
Le responsable de l’instance onusienne n’a pas mis la langue dans sa poche pour asséner un cuisant revers à la junte algérienne et son pantin sécessionniste, à travers des évidences historiques irréfutables.
«Après le départ de l’occupant espagnol, nul ne réclamait ce territoire, restitué à son propriétaire d’origine qui n’est autre que le royaume. A l’époque, il n’y avait donc pas d’autre entité qui revendiquait ces terres ou quelconque témoin pouvant plaider en faveur de telle ou telle cause ! », rétorquait le patron de l’Organisation des Nations Unies.
Cette déclaration provenant du haut de la pyramide onusienne, eut l’effet d’une brossée cinglante dans le camp de ces détracteurs rudement désavoués à l’instant même où pas moins de 36 pays africains ont sermonné le représentant algérien, lors d’un rassemblement à caractère multilatéral d’Afrique, en réponse à son habituelle animosité vers la question de l’intégrité territoriale marocaine.
Décidément, les caporaux d’Alger n’ont d’autres thématiques à soulever que de contester la justesse de l’affaire du Sahara, au lendemain de la récupération des terres spoliées en 1975. Depuis, sans aucune vergogne, la junte ne faisait qu’entraver le cours normal de ce dossier qui en principe, ne devrait guère s’étendre sur des décennies, si ce n’était l’intrusion perfide du voisin de l’est, à travers une girouette de mercenaires et ces temps-ci, il ne se suffisait pas de manipuler ces marionnettes, mais de s’y immiscer de manière frontale.
«L’ONU s’est toujours montrée partante pour faire parachever cette question en toute équité, mais il existe des parties qui freinent cette évolution saine ! », enchaînait le SG de l’instance suprême du globe, en faisant allusion au régime de l’Algérie dont la solution de ce conflit artificiel ne ferait que, non seulement dévoiler cette longue affabulation à l’encontre de la véracité du dossier marocain sur ses terres légitimes, mais également déceler les crimes fomentés dans les camps de la honte à Tindouf et les tromperies éhontées contre le peuple algérien.
«Voyez combien de résolutions onusiennes, étalées sur des années n’ont pas été tenues en compte ni exécutées à bon escient ! », déplorait le chef de l’Organisation, en insinuant les agissements du même auteur.
Pendant ce temps, le Roi, sous l’impulsion de son sage Monarque, est déterminé à poursuivre la génération de réformes sur ses provinces du sud pour y fonder des vraies métropoles, à l’instar de l’ensemble du territoire national, sans trop se préoccuper des fabulations fomentées par les militaristes et leurs fantoches.
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