Rôle de la coopération Sud-Sud dans la résolution des défis alimentaires en Afrique

La coopération Sud-Sud s’impose aujourd’hui comme un impératif pour faire face aux défis climatiques, économiques et alimentaires auxquels sont confrontés les pays africains, a souligné, jeudi à Rabat, le secrétaire général du ministère de l’Agriculture, de la Pêche maritime, du Développement rural et des Eaux et Forêts, Redouane Arrach.

Intervenant lors de l’ouverture des travaux de l’atelier de restitution et de clôture du programme de Coopération Triangulaire Sud-Sud (CTSS) Maroc – Fonds international de développement agricole (FIDA) – Pays africains, M. Arrach a mis en lumière cette coopération tripartite qu’il décrit comme un modèle d’excellence pour concrétiser la vision centrée sur le partage du savoir-faire et l’atteinte de la sécurité alimentaire sur le continent.

“Le programme que nous clôturons aujourd’hui illustre parfaitement cette vision. Il a permis la mise à disposition de l’expertise marocaine dans des domaines clés tels que la digitalisation des services agricoles, l’irrigation efficiente, le développement des filières, l’appui aux organisations professionnelles ou encore l’adaptation au changement climatique”, a dit le responsable.

Pour lui, ledit programme a également encouragé l’échange direct entre experts marocains et africains, dans un esprit de co-construction et de solidarité et a renforcé les capacités des institutions des pays bénéficiaires, en permettant l’adaptation de solutions concrètes aux réalités locales.

Parallèlement, M. Arrach a salué la richesse des expériences accumulées dans le cadre de cette coopération, indiquant que les échanges entre le Maroc, le FIDA et les pays partenaires montrent que les États africains disposent de ressources, de compétences et de modèles qui peuvent être mutuellement bénéfiques.

Dans ce sillage, le secrétaire général a appelé à consolider les acquis, tirer les enseignements des expériences menées et renforcer l’élan de cette coopération triangulaire Maroc–FIDA–Pays africains.

Cette dynamique, a-t-il conclu, devra permettre de continuer à travailler ensemble, collaborer et répondre conjointement aux défis auxquels fait face le continent.

Les travaux de cet atelier incluent des discussions et des sessions de travail entre les délégations et les experts des pays africains partenaires du programme qui se concluront par une restitution des échanges.

La coopération Sud-Sud s’impose aujourd’hui comme un impératif pour faire face aux défis climatiques, économiques et alimentaires auxquels sont confrontés les pays africains, a souligné, jeudi à Rabat, le secrétaire général du ministère de l’Agriculture, de la Pêche maritime, du Développement rural et des Eaux et Forêts, Redouane Arrach.

Intervenant lors de l’ouverture des travaux de l’atelier de restitution et de clôture du programme de Coopération Triangulaire Sud-Sud (CTSS) Maroc – Fonds international de développement agricole (FIDA) – Pays africains, M. Arrach a mis en lumière cette coopération tripartite qu’il décrit comme un modèle d’excellence pour concrétiser la vision centrée sur le partage du savoir-faire et l’atteinte de la sécurité alimentaire sur le continent.

“Le programme que nous clôturons aujourd’hui illustre parfaitement cette vision. Il a permis la mise à disposition de l’expertise marocaine dans des domaines clés tels que la digitalisation des services agricoles, l’irrigation efficiente, le développement des filières, l’appui aux organisations professionnelles ou encore l’adaptation au changement climatique”, a dit le responsable.

Pour lui, ledit programme a également encouragé l’échange direct entre experts marocains et africains, dans un esprit de co-construction et de solidarité et a renforcé les capacités des institutions des pays bénéficiaires, en permettant l’adaptation de solutions concrètes aux réalités locales.

Parallèlement, M. Arrach a salué la richesse des expériences accumulées dans le cadre de cette coopération, indiquant que les échanges entre le Maroc, le FIDA et les pays partenaires montrent que les États africains disposent de ressources, de compétences et de modèles qui peuvent être mutuellement bénéfiques.

Dans ce sillage, le secrétaire général a appelé à consolider les acquis, tirer les enseignements des expériences menées et renforcer l’élan de cette coopération triangulaire Maroc–FIDA–Pays africains.

Cette dynamique, a-t-il conclu, devra permettre de continuer à travailler ensemble, collaborer et répondre conjointement aux défis auxquels fait face le continent.

Les travaux de cet atelier incluent des discussions et des sessions de travail entre les délégations et les experts des pays africains partenaires du programme qui se concluront par une restitution des échanges.